Le Petit Vallée

Je suis né dans une petite vallée, sur les pentes des montagnes de Cordoba où coulait un ruisseau d'eau claire. Les collines entourant la vallée étaient verts et le chant des oiseaux toute la journée.
Vous pourriez Grâce à l'eau claire voir le petit poisson qui brillait lors du déplacement entre les pierres de couleur du fond du cours d'eau.
Le feuillage cachait oiseaux avec leur chant envahi l'écho de la vallée, ils pourrait être entendu dans la distance et il était difficile de savoir étaient près ou de loin. Perroquets, grives, pigeons, chantant leur chanson et réagissent les uns aux autres dans une conversation sans fin. Tant que l'on se promenait avec mes pieds dans l'eau dans la végétation était son très relaxant des feuilles et l'eau courante. On pourrait assis sur un rocher et potable à partir d'un printemps, il nous appelions côté, et le guide plein essor rocher était tellement frais et savoureux qui envahit l'âme et les sens.
Quand j'y étais rien d'autre existé, il n'y avait pas d'autres hommes ou des préoccupations, la ville était un lointain souvenir, ou peut-être même pas une mémoire. La vallée était tout et je était le même que la vallée.


Nací en un pequeño valle en la ladera de las sierras de Córdoba por donde corría un arroyo de aguas claras. Las lomas que rodeaban el valle eran de color verde y los pájaros cantaban durante todo el día. A través del agua transparente se podían ver los pequeños peces que brillaban al moverse entre las piedras de colores del fondo del curso de agua.
El follaje de los árboles ocultaba las aves que con su canto invadían el eco del valle, se las podía escuchar a la distancia y era dificil saber se estaban cerca o lejos. Loros, zorzales, palomas, entonaban su canto y se respondían unas a otras en una charla interminable. Mientras uno iba caminando con los pies en el agua entre la vegetación era muy relajante el sonido de las hojas y del agua que corría. Uno podía sentarse en una roca y beber de un manantial, que allí llamabamos vertiente, y el gua que brotaba de la roca era tan fresca y sabrosa que invadía el alma y los sentidos.
Cuando estaba allí nada más existía, no había otros hombres ni preocupaciones, la ciudad era un recuerdo lejano, o tal vez ni siquiera un recuerdo. El valle era todo y yo era lo mismo que el valle.

Adolfo-jul2015

Comentarios

Entradas populares de este blog

La cuestión de las castas en América (1)

La Lengua Camiare